KHEMACHE Katia

Harkis, un passé qui ne passe pas (Cairn, mai 2018) : Harki serait devenu en France une caractéristique héréditaire. De supplétif, le Harki est passé au stade de citoyen français entraînant dans son sillage toute sa descendance. Défi de taille à relever pour une administration postcoloniale. Au fil des décennies, l’attitude des pouvoirs publics français et les réactions qu’elle a pu susciter expliquent l’existence d’une identité harkie de France. D’un problème politique, les autorités françaises ont dû faire face, au lendemain de l’indépendance algérienne, à un fait de société d’un nouveau genre.
Katia Khemache est professeure d’histoire-géographie en Gironde.

KLARCZYK Frank


Sanglante vérité. Au coeur des collines corréziennes (Geste 2013) : originaire du Nord, Gabriel
Marcini est un policier brillant qui a réussi à intégrer le commissariat de Tulle. On lui confie une affaire de trafic de stupéfiants
qui parasite tout le Limousin. Il se lance à corps perdu dans cette affaire, infiltrant les milieux de la drogue et traquant la
« Black-Dream », cette nouvelle drogue dont Interpol annonçait l’arrivée en France. Quand Marco, l’un de ses indicateurs se
fait assassiner, il découvre que ses collègues ne sont pas tout blancs dans cette affaire.

LA BARBERA

Trilogie périgourdine (L’Harmattan 2014).

Le syndrome de Salammbô (Allia, 2013).

Serge LA BARBERA est enseignant dans un lycée de Périgueux et chargé de cours d’histoire à l’université de Limoges.

LABOUDIGUE Maïté

Zouzou et les surprises de l’hiver (Éd. Kaléïdoscope 2017) (À partir de 3 ans)
Zouzou rencontre un oisillon frigorifié : il a suivi un mauvais courant d’air et a eu un accident. Il a atterri dans un arbre. Il voulait passer l’hiver dans un pays chaud..! Zouzou et ses amis vont lui faire découvrir les fêtes et les surprises de l’hiver. Classe de MS/GS de l’école maternelle Clos Chassaing

Le sac à trous de Zouzou (Éd. L’École des Loisirs 2014) (À partir de 3 ans)
Zouzou se lève. C’est le premier jour du printemps ! Elle sort pour dessiner la nature mais elle perd ses accessoires en chemin. Les uns après les autres, ses amis viennent lui rapporter ses affaires. Pour finir, tous s’installent près d’un ruisseau pour dessiner, manger et fêter le printemps ! La classe de CE1 de l’école de Champcevinel

Après avoir travaillé au Monde et au Magazine littéraire, Maïté Laboudigue se consacre d’abord à l’illustration d’albums pour la jeunesse. Aujourd’hui, elle illustre ses propres histoires et vit dans une ferme perdue au milieu des champs de maïs près de La Rochelle.

LABROUE Michel

Le lac du Merle (Arka, novembre 2019).

A travers de nombreuses anecdotes, l’auteur, ancien conseiller général revient sur son enfance, ses vies familiale, professionnelle et politique . Et le cinéma, son autre  grande  passion, n’est jamais loin.

Ancien bâtonnier de l’ordre à Périgueux, Michel Labroue a un pied à Trémolat où il est né et a été élu local, un autre à Périgueux où est installé son cabinet d’avocat.

LABUSSIÈRE Michel

Mai 68 en Périgord, que reste-t-il de nos amours ? (Perce-Oreille, mai 2018).

Dictionnaire méchant du Périgord (PLB, décembre 2015).

Michel Labussière, ancien journaliste à La Dordogne Libre, habite en Périgord, à Saint-Antoine-d’Auberoche.

LABUSSIERE Michel

Une histoire de Périgueux à travers les bars de Michel LABUSSIERE (Perce-oreille, oct 23).

Que buvaient les Pétrocores ? De quel illustre philosophe et économiste l’arrière-arrière-petite-fille a-t-elle tenu un bar de nuit à Périgueux ? Qu’est-ce qui fit voler en éclats les vitrines du Café de la Comédie en 1905 ? Évoquer les mille et une adresses qui ont abrité un débit de boisson à Périgueux, c’est parcourir toute la ville, sa bruissante histoire et quelques aventures.

Michel Labussière a été journaliste à La Dordogne Libre près de trente ans et correspondant du journal Le Monde.

LACADÉE Philippe

 

Stefan Sweig, l’ombre devant soi de Philippe LACADEE (Éditions Michèle,  2022) 

L’œuvre de Stefan Sweig, écrivain à succès, grand témoin de notre époque, éclaire la façon dont, au début du XXème siècle, la littérature s’est emparée des questions fondamentales de l’être. Il a saisi que Freud n’est ni un littérateur, ni un philosophe et qu’avec lui, ce qui s’appelle l’inconscient ne sera plus jamais à la même place: l’inconscient n’est plus “un réservoir obscur”, ni un “résidu stagnant de l’âme”; la topographie des profondeurs n’est plus de mise en psychanalyse dès lors qu’on se repère au champ du langage et à la fonction de la parole.

Philippe Lacadée est  psychiatre-psychanalyste à Bordeaux.

LACHAISE Bernard

Georges Pompidou: avec de Gaulle 1944-1959 (Codex, novembre 2020)

“Je pense pouvoir dire que de 1944 à sa mort, nul, sa famille mise à part, ne l’a au total approché autant que moi”…ainsi, s’exprime , en 1973, Georges Pompidou pour évoquer sa relation avec le général de Gaulle.  Durant les années 1944-1959, Pompidou reste dans l’ombre du général de Gaulle. L’immense majorité des Français ne le connaît pas. Il entre dans l’entourage du président du Gouvernement provisoire de la République française dès octobre 1944. Au temps du RPF, de Gaulle le rappelle pour être son chef de cabinet quand il revient au pouvoir à la fin de la IVe République.

Bernard Lachaise est né à Verteillac (Dordogne). Il a effectué ses études à Ribérac, à l’École normale de Périgueux et enfin à Bordeaux. Il est professeur émérite d’histoire contemporaine à l’Université Bordeaux Montaigne.

LACIRE Marie

Atlantique de Marie LACIRE (Plon, août 23).

Il n’y a pas de place pour deux écrivains à Naujac. L’été, sur la côte Atlantique, Anne, écrivain, parisienne, se retrouve coincée avec Phil dans une maison de vacances abandonnée depuis des années. Elle veut faire table rase du passé, lui est attaché aux choses. Sous le soleil, entre souvenirs d’enfance, coupe du laurier et tri tous azimuts, Anne se débat avec elle-même. Elle doit écrire un second roman mais n’y arrive pas, fonce sur les routes du Médoc, s’accroche à son couple et à cette maison qui n’est pas la sienne. Elle rencontre un romancier connu, reconnu, qui l’accueille à bras apparemment ouverts.

Marie Lacire a été journaliste et styliste. Elle vit à Paris et passe ses étés sur la côte du Médoc.