Ma vie a changé (Éd. L’École des loisirs 2018) (À partir de 13 ans) – Auteure : Marie-Aude Murail
Si votre mari ne donne pas signe de vie, si votre fils a des 6 sur 20 en français, si des objets disparaissent et que votre appartement embaume le muguet, si le professeur de votre garçon vous a dans le coeur… alors, un elfe se promène chez vous : Madeleine et Constantin vont voir qu’un être du monde astral est plus difficile à gérer que leur propre vie ! Avis : J’ai aimé ce livre car la découverte d’un elfe n’est pas courante. On suit sa vie de l’enfance à l’âge adulte. Parfois le texte est un peu rude mais toujours compréhensible. Je recommande ce livre si vous aimez l’action !
Orencie, 6e Collège Laure Gatet de Périgueux
Sauveur & Fils (Éd. École des loisirs 2016) (À partir de 13 ans) – Auteure : Marie-Aude Murail
Résumé : C’est l’histoire d’un psychologue clinicien qui se prénomme Sauveur Saint-Yves et de son fils Lazare. Il est réputé comme étant un bon professionnel, mais pourquoi ne veut-il pas parler à Lazare de la mort de sa mère ?
Avis : J’ai adoré l’histoire mais également les personnages. Certains passages du livre m’ont fait passer du rire aux larmes. J’ai très envie de lire la suite !
Mélina, 6è Collège Laure Gatet
Avis : J’ai beaucoup aimé ce livre et surtout ce psychologue qui aide les gens qui en ont besoin. Il veut tellement résoudre leurs problèmes qu’il ne pense même pas aux siens !
Naomie, 6è Collège Laure Gatet
Maïté Coiffure (Éd. : École des loisirs 2004) (À partir de 13 ans) – Auteure : Marie-Aude Murail
Louis, élève de 3ème, va bientôt faire son stage de découverte en entreprise, mais il n’a pas encore d’idée ! Sa grand-mère lui propose de faire son stage chez Maïté Coiffure. Il accepte, mais son père n’est pas tellement d’accord. Louis va faire de belles rencontres semées d’aventures tout en essayant de réaliser son rêve : devenir coiffeur.
Avis : J’ai trouvé ce livre totalement génial ! Même si, comme moi, vous n’êtes pas fan de coiffure, vous allez adorer ce livre rempli d’émotions et d’aventures. Je conseille ce livre à tous ceux qui veulent assumer une différence face au regard de l’autre.
Aubin, 6è Collège Laure Gatet
L’assassin est au collège (Éd. École des loisirs 2011) (À partir de 13 ans) – Auteure : Marie-Aude Murail
Notre enquêteur, Nils Hazard, va devoir résoudre une sacrée énigme : qui a écrit des notes avec du sang en guise d’encre au collège Saint-Prix ? Qui rôde dans le collège pendant la nuit en provoquant des cris d’horreur, des frissons et un effroyable suspense ? À découvrir rapidement !
Avis : En tant que fan d’Agatha Christie, je recommande ce livre plein de frissons qui nous plonge dans une abominable enquête ! Facile à comprendre et intéressant pour ceux qui découvrent l’univers du roman policier.
Aubin, 6è Collège Laure Gatet
Longtemps parisienne, Marie-Aude Murail vit aujourd’hui dans le Centre-Val de Loire. Elle écrit depuis l’âge de 12 ans et publie depuis les années 80. Elle a plus de 100 titres à son actif : des contes, des feuilletons, des nouvelles, des essais, des récits. Et des romans d’amour, d’aventures, policiers, fantastiques…Même une méthode de lecture, Bulle. Ses livres sont étudiés en classe et empruntés dans toutes les bibliothèques. Elle milite pour l’apprentissage de la lecture, l’école et l’illettrisme, et s’est mobilisée pour la défense des enfants de réfugiés sans papiers, avec succès dans le cas de sa protégée Astrid-Mira. Elle est allée partout, dans les ZUP et les ZEP, les campagnes et les villes, les déserts et les îles, en France et ailleurs…Elle a rencontré beaucoup d’enfants et d’adolescents. Le samedi 15 juin à 15h, elle animera, en compagnie de Jean-Pierre OLH, un café littéraire intitulé « Dickens, un immense romancier… qu’on n’a pas toujours lu ! »
Le rêve du sorcier, Antoine de Tounens. T. 2 (La Lauze, juin 2018) : Qui est Antoine de Tounens, roi de Patagonie, conquérant solitaire, obscur avoué périgourdin embarqué sur les flottes de la démesure, son pavillon bleu, blanc, vert claquant aux vents du cap Horn ? La suite de cette biographie relate les dernières années de son périple en terre sud-américaine et notamment la guerre menée au nom des Mapuches contre le gouvernement chilien. Jean-François Gareyte habite en Dordogne, à Hautefort. Il travaille comme médiateur culturel pour l’Agence culturelle départementale de la Dordogne.
La femme qui voulait voir la mer (Calmann Lévy, octobre 2018) : Dans les années soixante, Rosine vit avec son mari, Henri, dans une petite ferme au creux d’une vallée, sur les bords d’un modeste affluent de la Dordogne. Quand survient la mort d’Henri, Rosine se surprend à n’en éprouver aucune peine, et même à se sentir peu à peu libérée. L’idée germe en elle de partir à l’aventure, de suivre le petit cours d’eau de sa vallée, de descendre la Dordogne, et de faire le chemin jusqu’à la mer… Le lendemain, elle se met en route pour un voyage qui l’amènera à écouter son coeur, ses désirs, et à oser se saisir du bonheur. Louis-Olivier Vitté vit en Corrèze, entre Brive et la haute vallée de la Dordogne, Il a été pendant vingt ans animateur pour Radio France. La femme qui voulait voir la mer est sélectionné pour le prix Augiéras 2019.
Claire Mauriac, le roman d’une mère (Le Festin, sept. 2015) : À l’occasion des 130 ans de la naissance de François Mauriac et des 45 ans de sa mort (11 octobre 1885-1er septembre 1970), Anne Duprez a mené l’enquête sur une des – sinon LA – figures essentielles qui ont contribué à façonner l’identité du futur écrivain, celle de sa mère, Claire Mauriac, née Coiffard. Paradoxalement, alors que la filiation avec le père, Paul Mauriac (pourtant décédé très tôt, en 1887), a abondamment fourni matière à commentaires et à interprétations, «Madame Mauriac » est, au fil des innombrables biographies qui sont venues éclairer la personnalité et l’œuvre du Prix Nobel 1952, demeurée dans l’ombre.
Anne Duprez est journaliste et guide-conférencière auprès de l’Office de Tourisme de Bordeaux. Pour réaliser ce portrait de Claire Mauriac, elle a bénéficié du soutien de Jean Mauriac, dernier enfant vivant du Prix Nobel.
Bordeaux, la mémoire des pierres (Mollat, mars 2015) : Un homme de soixante-treize ans arpente Bordeaux à la recherche de sa jeunesse et de son premier amour. Il n’y croise que des spectres dans un quartier qui n’est plus aux couleurs de l’Espagne républicaine de ses vingt ans. Rencontrée par hasard, Rosario Paradis s’attache immédiatement à lui. Elle s’escrime à rédiger une thèse d’histoire de l’art qu’elle finance par-delà le bien et le mal, entre peep-show et prostitution occasionnelle. Jean-Michel Devésa est maître de conférences à l’université de Bordeaux.
Talents d’apprenti.e.s (Mot à mot, nov. 2018) : « Les apprentis, hommes ou femmes, sont peu médiatisés et les métiers manuels sont encore très souvent dévalorisés. À travers cet ouvrage qui trace 28 portraits, j’ai souhaité montrer que ces jeunes talentueux n’ont pas choisi la voie la plus facile, puisqu’ils travaillent tout en préparant un diplôme, qu’ils sont fiers d’exercer des métiers faits de compétences et de savoir-faire. » Christine Ribeyreix est enseignante de Français dans un C.F.A. Elle habite à Champcevinel.
Ground Zero (Rouergue, mars 2016) : La vie de W. a basculé vers 1979-80 en Italie, quand il a rencontré un certain Dan. Celui-ci dirigeait un groupuscule anti-communiste, le Gladio. En ce début septembre 2001, W., en plein coeur de New York, a une nouvelle mission lucrative à remplir, dans une des tours du World Trade Center. Buter un inconnu, récupérer sa mallette de documents, la transmettre à un contact, sans rien savoir des raisons de l’opération, parfait pour W. Tout se déroule comme prévu. Sauf qu’il remarque une femme qui le surveille et, surtout, que la tour du WTC se met à trembler. Jean-Paul Chaumeil vit à Bordeaux où il est enseignant.
Le prix de la démesure (Libre & solidaire, sept. 2015) : « La récession actuellement en cours nous obligera à des révisions douloureuses par le jeu de mécanismes administratifs de rationnement et par une baisse drastique de nos revenus. Il faudra apprendre à vivre dans un nouveau contexte de catastrophe qui, inévitablement, portera atteinte à nos libertés. »
Maître de conférences honoraire à l’Université Bordeaux-I, juriste, spécialisé dans le droit de l’environnement, Simon Charbonneau habite à Bergerac.
Les racines du sang (Albin Michel, mai 2016) : Un flic sous l’emprise des fantômes de son passé. Une série de meurtres étrangement sophistiqués. Une histoire à couper le souffle sur fond de scandale sanitaire mondial.
Née à Bordeaux, Natacha Calestrémé est membre des JNE (Journalistes écrivains pour la Nature et l’Écologie). Elle a réalisé sa propre collection de documentaires, intitulée « Les héros de la nature » : une série de portraits d’hommes et de femmes qui agissent pour la protection de la biodiversité à travers le monde.
Crime climatique, stop ! (Seuil, août 2015) : Ce livre porte la voix de personnalités du monde entier, de chercheurs conscients de l’impasse actuelle, mais aussi celle d’innombrables victimes, réfugiés climatiques et collectifs en lutte contre la machine à réchauffer la planète. Tous nous rappellent la réalité du réchauffement climatique en cours, les souffrances et les inégalités qu’il produit. Valérie Cabanes habite Bassillac. Elle est la porte-parole d’End Ecocide on Earth. Elle a contribué à cet ouvrage en pointant la nécessité d’une justice pénale internationale pour poursuivre les crimes climatiques.
Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site web. Si vous continuez à utiliser ce site, nous supposerons que vous en êtes satisfait.Ok